Les cheminots de la SNCF on été en grève dans
le courant du mois de juin 2014. Une grève pour contrer la nouvelle
reforme ferroviaire voulu par le gouvernement. La réforme est passée en
procédure d’urgence mais les cheminots n’ont pas baissé les bras.
Cette réforme engageait la structuration de la
SNCF en un système éclaté en trois établissements, une bonne première
étape vers l’éclatement total du système.
La réforme s’inscrit dans une politique des transports européen qui prône la déréglementation et la casse des services publics ainsi que leurs mise en concurrence avec le libéralisme sauvage.
Les vrais problèmes rencontrés par les salaries et les usagers ne sont jamais traités dans cette réforme dite “historique” du ferroviaire français. Les questions de l’endettement du système et de son financement demeurent centrales mais ne sont pas abordées non plus.
Tout au long de leurs luttes, les grévistes ont fait face à une tempête médiatique faites d’enfumage et de manipulation politique de la part du gouvernement et des médias. La réforme est passée, mais les cheminots entendent continuer le combat.
« Les carcans financiers et politiques dans lesquels vient d’être enfermé le système provoqueront fermetures de gares, suppressions de dessertes, abandon de lignes entières, réduction du niveau et de la qualité de l’offre ferroviaire. L’emploi de cheminots, leur formation, leur salaire, leur protection sociale, leurs conditions sociales, de travail, leur statut serviront également de variable d’ajustement. » CGT cheminots
La réforme s’inscrit dans une politique des transports européen qui prône la déréglementation et la casse des services publics ainsi que leurs mise en concurrence avec le libéralisme sauvage.
Les vrais problèmes rencontrés par les salaries et les usagers ne sont jamais traités dans cette réforme dite “historique” du ferroviaire français. Les questions de l’endettement du système et de son financement demeurent centrales mais ne sont pas abordées non plus.
Tout au long de leurs luttes, les grévistes ont fait face à une tempête médiatique faites d’enfumage et de manipulation politique de la part du gouvernement et des médias. La réforme est passée, mais les cheminots entendent continuer le combat.
« Les carcans financiers et politiques dans lesquels vient d’être enfermé le système provoqueront fermetures de gares, suppressions de dessertes, abandon de lignes entières, réduction du niveau et de la qualité de l’offre ferroviaire. L’emploi de cheminots, leur formation, leur salaire, leur protection sociale, leurs conditions sociales, de travail, leur statut serviront également de variable d’ajustement. » CGT cheminots
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