La Fédération CGT-Mines Energie a dénoncé, dans un communiqué de presse,le plan social que prépare Enédis de 2000 suppressions de postes à l’horizon 2020.
Enedis est, depuis 2016, dans une dynamique d’économies, pour répondre à la pression des actionnaires de sa maison mère, le groupe EDF : suppressions d’emplois et réduction des implantations territoriales, réorganisations internes, remise en cause des conditions d’exercice de l’astreinte et du temps de travail sont autant d’atteintes à la qualité des services proposés.
Or, en faisant de tels choix, Enédis ne respecte pas les critères auquels elle s’est engagée lors des négociations avec le Commission de régulation de l’énergie (CRE), et qui prévoyaient des investissements... financés par les usagers !
La FNME CGT « dénonce cette logique financière de court terme qui revient à détourner de ses objectifs l’argent payé par les usagers au travers de leur facture d’électricité. »
Et relève que le climat social de l’entreprise est délétère et pourrait mener à un mouvement de même ampleur que celui d’avril 2009, qui avait vu se multiplier les interruptions de fourniture, les basculements vers les tarifs heures creuses et les manifestations.
Enedis est, depuis 2016, dans une dynamique d’économies, pour répondre à la pression des actionnaires de sa maison mère, le groupe EDF : suppressions d’emplois et réduction des implantations territoriales, réorganisations internes, remise en cause des conditions d’exercice de l’astreinte et du temps de travail sont autant d’atteintes à la qualité des services proposés.
Or, en faisant de tels choix, Enédis ne respecte pas les critères auquels elle s’est engagée lors des négociations avec le Commission de régulation de l’énergie (CRE), et qui prévoyaient des investissements... financés par les usagers !
La FNME CGT « dénonce cette logique financière de court terme qui revient à détourner de ses objectifs l’argent payé par les usagers au travers de leur facture d’électricité. »
Et relève que le climat social de l’entreprise est délétère et pourrait mener à un mouvement de même ampleur que celui d’avril 2009, qui avait vu se multiplier les interruptions de fourniture, les basculements vers les tarifs heures creuses et les manifestations.
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