La Loi de programmation budgétaire des finances publiques 2018-2022 et CAP 2022 n’en finissent pas de faire des victimes...
Lors du CCE extraordinaire de Pôle emploi, le 24 mai, c’est le directeur général adjoint qui s’est chargé d’annoncer aux instances représentatives du personnel que le chiffre, qui circulait depuis début mai, de 4000 suppressions de postes ne pourrait être atteint par les seuls départs en retraite. Tout en réaffirmant que tout ceci restait une hypothèse liée à un recul du chômage... qui n’a pas baissé en avril, pour ne prendre que l’analyse des derniers chiffres !
Les élus et représentants syndicaux ont donc voté à l’unanimité la demande d’un nouveau CCE extraordinaire sur « l’état des lieux des charges et ressources des services et missions de Pôle Emploi et des charges de travail des agents », et qu’il se tienne en présence, cette fois, de leur directeur général lui-même, Jean Bassères.
Lors du CCE extraordinaire de Pôle emploi, le 24 mai, c’est le directeur général adjoint qui s’est chargé d’annoncer aux instances représentatives du personnel que le chiffre, qui circulait depuis début mai, de 4000 suppressions de postes ne pourrait être atteint par les seuls départs en retraite. Tout en réaffirmant que tout ceci restait une hypothèse liée à un recul du chômage... qui n’a pas baissé en avril, pour ne prendre que l’analyse des derniers chiffres !
Les élus et représentants syndicaux ont donc voté à l’unanimité la demande d’un nouveau CCE extraordinaire sur « l’état des lieux des charges et ressources des services et missions de Pôle Emploi et des charges de travail des agents », et qu’il se tienne en présence, cette fois, de leur directeur général lui-même, Jean Bassères.
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