Patrick Pelloux président de l’Amuf a salué un "accord historique" avec le gouvernement sur le temps de travail. "Même
si on n’a pas tout obtenu, il nous semble que la reconnaissance du
plancher de 39 heures et le déclenchement des heures supplémentaires à
partir de ce plancher est un accord historique. Nous n’avons pas eu de
progrès social depuis quatorze ans."
A partir du 1er juillet 2015 au plus tard, le temps de travail des urgentistes sera décompté en heures et non en demi-journées. Pour la première fois, un texte ministériel reconnaît que leur temps de travail est de 48 heures par semaine. Il est également acquis que, sur ces 48 heures, le travail auprès du patient ne pourra pas excéder 39 heures. Entre 39 heures et 48 heures, l’urgentiste devra utiliser son temps de travail pour des réunions ou des tâches administratives.
Une fois l’accord en vigueur, un urgentiste pourra travailler jusqu’à 60 heures, mais uniquement sur la base du volontariat.
L’Amuf affirme aussi avoir obtenu le paiement des heures supplémentaires au-delà de 39 heures. En revanche, les urgentistes n’ont pas été entendus sur la revalorisation de l’indemnité de garde de nuit.
A partir du 1er juillet 2015 au plus tard, le temps de travail des urgentistes sera décompté en heures et non en demi-journées. Pour la première fois, un texte ministériel reconnaît que leur temps de travail est de 48 heures par semaine. Il est également acquis que, sur ces 48 heures, le travail auprès du patient ne pourra pas excéder 39 heures. Entre 39 heures et 48 heures, l’urgentiste devra utiliser son temps de travail pour des réunions ou des tâches administratives.
Une fois l’accord en vigueur, un urgentiste pourra travailler jusqu’à 60 heures, mais uniquement sur la base du volontariat.
L’Amuf affirme aussi avoir obtenu le paiement des heures supplémentaires au-delà de 39 heures. En revanche, les urgentistes n’ont pas été entendus sur la revalorisation de l’indemnité de garde de nuit.
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