Pour la CGT, les droits et dispositifs nouveaux obtenus par la négociation collective et la loi représentent des avancées mais ne règlent pas tout, surtout au regard du manque de moyens dédiés.
Assurer pleinement son parcours
professionnel, avoir prise réellement sur son avenir, au sein comme en
dehors de l’entreprise, dans le cadre d’une mobilité professionnelle
choisie et non imposée, tous ces pouvoirs restent encore à gagner.
La CGT propose un nouveau statut du travail salarié, garantissant à chacune et à chacun des droits individuels garantis collectivement et leur transférabilité. Et ce pour permettre à chaque salarié, de la sortie du système scolaire à la fin de sa carrière professionnelle, de disposer d’un certain nombre de droits cumulatifs et progressifs, transférables d’une entreprise à l’autre, opposables à tout employeur.
Ces droits sont entre autres :
le droit au travail, à un contrat à durée indéterminée à temps complet, à la formation continue, à la sécurité sociale professionnelle ;
le droit à une progressivité de carrière qui lie qualification initiale, ancienneté, acquisition de nouvelles qualifications et évolution de salaire tout au long de la vie professionnelle. Pour la CGT tout salarié devrait avoir au moins doublé (à valeur constante), à l’âge de la retraite, son salaire d’entrée dans la vie professionnelle ;
le droit à la formation continue (générale et professionnelle), accessible à tous, sur le temps de travail et rémunérée comme tel. Cela passe par un droit élargi à la formation professionnelle débouchant sur l’évolution régulière de sa qualification et sa reconnaissance permanente.
Dans l’entreprise, 10 % des heures travaillées collectivement devraient être consacrées à la formation sur le temps de travail. Ce qui correspond environ à un mois de formation chaque année ou à une année de formation tous les dix ans pour chaque salarié.
C’est ambitieux ! Mais c’est nécessaire !
Le conseil en évolution professionnelle et le compte personnel de formation amorcent une ébauche de ce que pourront être demain des droits opposables attachés à la personne. C’est au quotidien, dans l’entreprise, que nous devons gagner d’autres droits et leur généralisation.
La conception CGT de la formation est constante : former l’homme, le citoyen et le travailleur, pour une inclusion de toutes et tous dans la vie économique, sociale et culturelle. La formation doit permettre de franchir les étapes d’une trajectoire professionnelle choisie et évolutive.
On se forme pour se cultiver, se réaliser personnellement.
On se forme pour accéder à l’emploi, le préserver ou en obtenir un nouveau.
On se forme pour accéder à l’égalité professionnelle, pour élever ses qualifications, pour les faire reconnaître et rémunérer à leur juste valeur.
Mais exercer ses libertés, faire respecter le droit, nécessite des échanges parfois tendus avec sa hiérarchie, son employeur. Le faire seul est difficile. En s’organisant dans la CGT, chaque salarié se donne des moyens pour se défendre, faire respecter sa dignité.
La CGT propose un nouveau statut du travail salarié, garantissant à chacune et à chacun des droits individuels garantis collectivement et leur transférabilité. Et ce pour permettre à chaque salarié, de la sortie du système scolaire à la fin de sa carrière professionnelle, de disposer d’un certain nombre de droits cumulatifs et progressifs, transférables d’une entreprise à l’autre, opposables à tout employeur.
Ces droits sont entre autres :
le droit au travail, à un contrat à durée indéterminée à temps complet, à la formation continue, à la sécurité sociale professionnelle ;
le droit à une progressivité de carrière qui lie qualification initiale, ancienneté, acquisition de nouvelles qualifications et évolution de salaire tout au long de la vie professionnelle. Pour la CGT tout salarié devrait avoir au moins doublé (à valeur constante), à l’âge de la retraite, son salaire d’entrée dans la vie professionnelle ;
le droit à la formation continue (générale et professionnelle), accessible à tous, sur le temps de travail et rémunérée comme tel. Cela passe par un droit élargi à la formation professionnelle débouchant sur l’évolution régulière de sa qualification et sa reconnaissance permanente.
Dans l’entreprise, 10 % des heures travaillées collectivement devraient être consacrées à la formation sur le temps de travail. Ce qui correspond environ à un mois de formation chaque année ou à une année de formation tous les dix ans pour chaque salarié.
C’est ambitieux ! Mais c’est nécessaire !
Le conseil en évolution professionnelle et le compte personnel de formation amorcent une ébauche de ce que pourront être demain des droits opposables attachés à la personne. C’est au quotidien, dans l’entreprise, que nous devons gagner d’autres droits et leur généralisation.
La conception CGT de la formation est constante : former l’homme, le citoyen et le travailleur, pour une inclusion de toutes et tous dans la vie économique, sociale et culturelle. La formation doit permettre de franchir les étapes d’une trajectoire professionnelle choisie et évolutive.
On se forme pour se cultiver, se réaliser personnellement.
On se forme pour accéder à l’emploi, le préserver ou en obtenir un nouveau.
On se forme pour accéder à l’égalité professionnelle, pour élever ses qualifications, pour les faire reconnaître et rémunérer à leur juste valeur.
Mais exercer ses libertés, faire respecter le droit, nécessite des échanges parfois tendus avec sa hiérarchie, son employeur. Le faire seul est difficile. En s’organisant dans la CGT, chaque salarié se donne des moyens pour se défendre, faire respecter sa dignité.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire