À
partir du 3 avril prochain, l’ensemble des acteurs privés et publics de
la filière « collecte et traitement des déchets » est appelé à se
mettre en grève illimitée. Deux fédérations, qui travaillent ensemble
sur un cahier des charges commun depuis un an, sont à la manœuvre : la
CGT transport et la fédération des services publics.
« Nous sommes confiants sur le suivi de cette grève, nous étions nombreux dans la rue le 22 mars dernier », confie Baptiste Talbot, secrétaire général de la fédération des services publics. « Nous revendiquons une réduction du temps de travail eu égard à la pénibilité de nos métiers. Il faut savoir que notre espérance de vie en bonne santé est inférieure de quinze ans à celle d’un ouvrier, et que nous avons trois fois plus de chances de mourir avant 65 ans.
Nous demandons aussi la création d’un service public des déchets », détaille Stéphane Cravero, animateur du collectif filière « collecte et traitement des déchets ». Pour Guy Martre, secrétaire général de la filière « traitement des déchets nettoiement eau égouts assainissement » (FTDNEEA), « nous réclamons la retraite à 50 ans pour les métiers les plus pénibles, avec bonification, et un départ anticipé de cinq ans pour l’ensemble de la filière ». Et de rappeler que le 22 mars dernier, la filière a enregistré 47 % de grévistes.
« Nous sommes confiants sur le suivi de cette grève, nous étions nombreux dans la rue le 22 mars dernier », confie Baptiste Talbot, secrétaire général de la fédération des services publics. « Nous revendiquons une réduction du temps de travail eu égard à la pénibilité de nos métiers. Il faut savoir que notre espérance de vie en bonne santé est inférieure de quinze ans à celle d’un ouvrier, et que nous avons trois fois plus de chances de mourir avant 65 ans.
Nous demandons aussi la création d’un service public des déchets », détaille Stéphane Cravero, animateur du collectif filière « collecte et traitement des déchets ». Pour Guy Martre, secrétaire général de la filière « traitement des déchets nettoiement eau égouts assainissement » (FTDNEEA), « nous réclamons la retraite à 50 ans pour les métiers les plus pénibles, avec bonification, et un départ anticipé de cinq ans pour l’ensemble de la filière ». Et de rappeler que le 22 mars dernier, la filière a enregistré 47 % de grévistes.
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