Les nouveaux chiffres du chômage montrent une
baisse de la catégorie A (-0,8 % sur 1 mois, -2,4 % sur 3 mois) mais
somme toute minime sur un an à -0,1 %.
La catégorie B a baissé sur 3 mois (-2,4%) mais continue d’augmenter sur 1 an (+ 4,2 %).
On relève surtout une explosion de la catégorie C, celle des demandeurs d’emploi ayant travaillé plus de 78 heures dans le mois, avec plus + 4,5% sur 3 mois et + 9,2% sur 1 an.
La timide reprise économique s’accompagne de ce que nous dénonçons depuis désormais des années : la reprise de l’emploi se fait par les emplois précaires.
Et si le chômage des jeunes a tendance à légèrement baisser (-4,2% sur 3 mois et -1,6% sur 1 an), celui des seniors continue d’exploser (+1,1% sur 3 mois) et plus 5,5 % sur 1 an.
Les intentions du gouvernement pour durcir le contrôle des chômeurs ne feraient qu’aggraver cette augmentation de la précarité, encore une fois au profit des employeurs déjà largement gâtés en « flexibilité » par les ordonnances Macron.
La CGT ne laissera pas le gouvernement et le patronat insulter et culpabiliser les demandeurs d’emploi. Ces derniers ne demandent qu’à être accompagnés pour retrouver des emplois durables et pas des petits boulots destinés à confisquer encore plus les richesses produites par le travail de toutes et tous !
Montreuil, le 27 décembre 2017
La catégorie B a baissé sur 3 mois (-2,4%) mais continue d’augmenter sur 1 an (+ 4,2 %).
On relève surtout une explosion de la catégorie C, celle des demandeurs d’emploi ayant travaillé plus de 78 heures dans le mois, avec plus + 4,5% sur 3 mois et + 9,2% sur 1 an.
La timide reprise économique s’accompagne de ce que nous dénonçons depuis désormais des années : la reprise de l’emploi se fait par les emplois précaires.
Et si le chômage des jeunes a tendance à légèrement baisser (-4,2% sur 3 mois et -1,6% sur 1 an), celui des seniors continue d’exploser (+1,1% sur 3 mois) et plus 5,5 % sur 1 an.
Les intentions du gouvernement pour durcir le contrôle des chômeurs ne feraient qu’aggraver cette augmentation de la précarité, encore une fois au profit des employeurs déjà largement gâtés en « flexibilité » par les ordonnances Macron.
La CGT ne laissera pas le gouvernement et le patronat insulter et culpabiliser les demandeurs d’emploi. Ces derniers ne demandent qu’à être accompagnés pour retrouver des emplois durables et pas des petits boulots destinés à confisquer encore plus les richesses produites par le travail de toutes et tous !
Montreuil, le 27 décembre 2017
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