L'Union Locale sur le ouèbe
Désormais, pour suivre l'Union Locale CGT de Cherbourg, il faut se rendre sur :
mercredi 28 décembre 2016
TPE : LES ENJEUX
Vous allez voter pour trois choses :
1 - Élire vos représentants CGT dans les commissions paritaires régionales (CPRI)
2 - Désigner les juges prud’homaux du collège salarié
3 - Désigner les organisations syndicales qui vont vous représenter pour négocier vos droits et conventions collectives (c’est ce qu’on appelle la représentativité syndicale).
1 - Élire vos représentants CGT dans les commissions paritaires régionales (CPRI)
2 - Désigner les juges prud’homaux du collège salarié
3 - Désigner les organisations syndicales qui vont vous représenter pour négocier vos droits et conventions collectives (c’est ce qu’on appelle la représentativité syndicale).
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Les CPRI
Pour tous ceux qui ne seront pas couverts pas une commission particulière, il y a les Commissions paritaires régionales interprofessionnelles (CPRI) Pour découvrir les rôle de ces CPRI, passez la souris sur l’image puis sur les cercles noirs. C’est nouveau, les CPRI ont été créées par la loi du 17…
Les Prud’hommes
Cette élection servira à désigner les représentants des salariés qui siégeront aux Prud’hommes. C’est là que se règlent les conflits entre les employeurs et les salariés (licenciement abusif, harcèlement...). Il est donc important de faire entendre votre voix et de voter pour des représentants CGT qui…
Être représenté-e
Cette élection va donner la représentativité des organisations syndicales dans les TPE. Ces résultats donneront une photographie de la force des organisations syndicales, leur donnant le droit de négocier, de signer des accordsdans les branches (conventions collectives, et donneront des éléments de…
Chiffres du chômage du mois de novembre 2016 : Pour les précaires, pas de cadeaux de Noël
Seule la catégorie A voit ses chiffres baisser de
3,1 % sur 3 mois consécutifs et de 3,4 % sur 1 an. Pour les autres, la
potion est amère !
Sur 1 an, les demandeurs d’emploi, toutes catégories confondues, sont passés de 6 143 400 à 6 238 400. Ce qui fait encore une augmentation de 1,5 %.
Par ailleurs, les catégories B et C qui regroupent les personnes sous contrats précaires sont passées de 1 878 100 à 2 028 800, soit 8% d’augmentation.
Si nous conjuguons ces chiffres avec la diminution de l’indemnisation, nous ne pouvons pas voir là une embellie mais bel et bien une explosion de la précarité. Y a-t-il un « modèle » européen qui vise à augmenter la précarité à défaut de lutter contre le chômage ?
La CGT continuera à lutter contre le développement des contrats sans lendemain et pour les 32 heures sans diminution de salaire. Le travail et les richesses doivent être partagés.
Montreuil, le 26 décembre 2016
Sur 1 an, les demandeurs d’emploi, toutes catégories confondues, sont passés de 6 143 400 à 6 238 400. Ce qui fait encore une augmentation de 1,5 %.
Par ailleurs, les catégories B et C qui regroupent les personnes sous contrats précaires sont passées de 1 878 100 à 2 028 800, soit 8% d’augmentation.
Si nous conjuguons ces chiffres avec la diminution de l’indemnisation, nous ne pouvons pas voir là une embellie mais bel et bien une explosion de la précarité. Y a-t-il un « modèle » européen qui vise à augmenter la précarité à défaut de lutter contre le chômage ?
La CGT continuera à lutter contre le développement des contrats sans lendemain et pour les 32 heures sans diminution de salaire. Le travail et les richesses doivent être partagés.
Montreuil, le 26 décembre 2016
Plus 0,93% pour le Smic, plus 20% pour les dirigeants des entreprises ! On accentue les inégalités sociales !
Comme cela aura été le cas durant tout le
quinquennat de François Hollande, le Gouvernement refuse cette année
encore tout coup de pouce à l’augmentation du Smic, après 54 mois de
blocage des pensions de retraite.
Le Smic horaire sera donc augmenté de quelques centimes, pas même de quoi couvrir les hausses du prix du gaz et de l’essence déjà programmées pour janvier.
Cette politique d’austérité ne sert que les intérêts financiers du patronat et conduit à l’explosion des inégalités et de la pauvreté.
C’est aussi un frein aux négociations salariales (NAO) dans les entreprises et les branches professionnelles.
Cette politique d’austérité est inefficace économiquement : un million de chômeurs de plus en cinq ans et l’explosion des contrats courts et des temps partiels.
Pour la CGT, le problème central, c’est le coût du capital avec, notamment, les dividendes et les intérêts servis aux actionnaires : 42 milliards d’euros de profit au 1er septembre 2016.
À cela, s’ajoutent 230 milliards d’euros d’aides, de crédits d’impôts et d’exonérations aux entreprises, sans contrôle, sans évaluation pour les travailleurs et leurs représentants, sans impact, si ce n’est négatif, sur l’emploi.
La simple indexation du Smic sur la proposition de la « commission des experts » va à l’encontre des recommandations de l’OIT qui s’alarme des conséquences de la faible augmentation des salaires sur le développement économique en Europe.
L’instauration d’un salaire minimum en Allemagne a permis de réduire les petits boulots et de créer près de 90 000 emplois. En Espagne, le salaire minimum sera augmenté de 8% en 2017.
La CGT rappelle qu’elle revendique un Smic à 1800 euros brut.
Il faut à la fois relever le Smic et relever l’ensemble des salaires, selon les qualifications.
La CGT est disponible pour agir, entreprise par entreprise, avec l’ensemble des salariés pour gagner des augmentations salariales.
C’est cela aussi mettre en échec la loi « travail ».
Montreuil, le 19 décembre 2016
Le Smic horaire sera donc augmenté de quelques centimes, pas même de quoi couvrir les hausses du prix du gaz et de l’essence déjà programmées pour janvier.
Cette politique d’austérité ne sert que les intérêts financiers du patronat et conduit à l’explosion des inégalités et de la pauvreté.
C’est aussi un frein aux négociations salariales (NAO) dans les entreprises et les branches professionnelles.
Cette politique d’austérité est inefficace économiquement : un million de chômeurs de plus en cinq ans et l’explosion des contrats courts et des temps partiels.
Pour la CGT, le problème central, c’est le coût du capital avec, notamment, les dividendes et les intérêts servis aux actionnaires : 42 milliards d’euros de profit au 1er septembre 2016.
À cela, s’ajoutent 230 milliards d’euros d’aides, de crédits d’impôts et d’exonérations aux entreprises, sans contrôle, sans évaluation pour les travailleurs et leurs représentants, sans impact, si ce n’est négatif, sur l’emploi.
La simple indexation du Smic sur la proposition de la « commission des experts » va à l’encontre des recommandations de l’OIT qui s’alarme des conséquences de la faible augmentation des salaires sur le développement économique en Europe.
L’instauration d’un salaire minimum en Allemagne a permis de réduire les petits boulots et de créer près de 90 000 emplois. En Espagne, le salaire minimum sera augmenté de 8% en 2017.
La CGT rappelle qu’elle revendique un Smic à 1800 euros brut.
Il faut à la fois relever le Smic et relever l’ensemble des salaires, selon les qualifications.
La CGT est disponible pour agir, entreprise par entreprise, avec l’ensemble des salariés pour gagner des augmentations salariales.
C’est cela aussi mettre en échec la loi « travail ».
Montreuil, le 19 décembre 2016
mercredi 21 décembre 2016
Une condamnation du Secrétaire général de la CGT Mayotte inacceptable !
Communiqué de la CGT, de la fédération FNME-CGT et de la Fédération National Ports et Docks CGT
Jeudi 8 décembre 2016, la chambre d’appel de
Mayotte a condamné Salim Nahouda, Secrétaire général de la CGT Mayotte
et Secrétaire général de l’énergie à Mayotte, à 27.507 euros de dommages
pour avoir mené la lutte pour la défense des garanties collectives des
travailleurs portuaires, pour avoir dénoncé le non-respect des accords,
fruits des luttes récentes à Mayotte, et pour avoir dénoncé la
corruption dans la réforme portuaire à Mayotte.
La Confédération Générale du Travail, la Fédération Nationale Mines-Energie CGT (FNME-CGT) et la Fédération Nationale des Ports et Docks CGT dénoncent cette condamnation qui protège ceux qui ne respectent pas les règles et devoirs de la République et sanctionne celles et ceux qui dénoncent cet état de fait.
Salim Nahouda, dans ses responsabilités syndicales, est un lanceur d’alertes contre la corruption qui sévit à Mayotte.
Il ne s’agit que d’une manœuvre d’intimidation et de musèlement de la CGTMa dans une période où ce pays d’Outre-mer, 101ème département français depuis 2011, est en plein combat pour assurer l’égalité des droits avec la métropole et mettre en œuvre la départementalisation.
La Confédération CGT, la FNME-CGT et la Fédération CGT Ports et Docks rappellent que quand on s’attaque à un militant de la CGT c’est à l’ensemble de la CGT que l’on s’attaque. Cette décision judiciaire ne bridera pas les expressions de la CGTMa et de la CGT et, surtout, elle ne bridera pas la lutte que mènent les travailleurs de Mayotte ou d’ailleurs.
La Confédération CGT, la FNME-CGT et la Fédération CGT Ports et Docks sont solidaires de Salim Nahouda, de la CGT Mayotte et des luttes des travailleurs de Mayotte.
Nous dénonçons fermement cette condamnation politique qui va à l’encontre d’une justice indépendante et juste telle que le conçoit la CGT.
Tous solidaires de Salim Nahouda et de la CGT Mayotte !
Montreuil, le 16 décembre 2016
La Confédération Générale du Travail, la Fédération Nationale Mines-Energie CGT (FNME-CGT) et la Fédération Nationale des Ports et Docks CGT dénoncent cette condamnation qui protège ceux qui ne respectent pas les règles et devoirs de la République et sanctionne celles et ceux qui dénoncent cet état de fait.
Salim Nahouda, dans ses responsabilités syndicales, est un lanceur d’alertes contre la corruption qui sévit à Mayotte.
Il ne s’agit que d’une manœuvre d’intimidation et de musèlement de la CGTMa dans une période où ce pays d’Outre-mer, 101ème département français depuis 2011, est en plein combat pour assurer l’égalité des droits avec la métropole et mettre en œuvre la départementalisation.
La Confédération CGT, la FNME-CGT et la Fédération CGT Ports et Docks rappellent que quand on s’attaque à un militant de la CGT c’est à l’ensemble de la CGT que l’on s’attaque. Cette décision judiciaire ne bridera pas les expressions de la CGTMa et de la CGT et, surtout, elle ne bridera pas la lutte que mènent les travailleurs de Mayotte ou d’ailleurs.
La Confédération CGT, la FNME-CGT et la Fédération CGT Ports et Docks sont solidaires de Salim Nahouda, de la CGT Mayotte et des luttes des travailleurs de Mayotte.
Nous dénonçons fermement cette condamnation politique qui va à l’encontre d’une justice indépendante et juste telle que le conçoit la CGT.
Tous solidaires de Salim Nahouda et de la CGT Mayotte !
Montreuil, le 16 décembre 2016
mercredi 14 décembre 2016
Education : Avec PISA, l’OCDE exprime son soutien au gouvernement
Ce mardi 6 décembre, en présence de la ministre de l’Education
nationale, le « thermomètre » 2015 du Programme international pour le
suivi des acquis des élèves (PISA) de l’OCDE a été présenté.
La CGT reste sceptique sur ces évaluations du système qui, bien souvent, servent à justifier des contre-réformes.
Sur le fond, d’ailleurs, il est contestable de s’appuyer sur des sondages sur les compétences basiques en lecture, mathématiques et sciences de certains élèves pour, ensuite, faire des préconisations se présentant comme « scientifiques » donc incontestables.
Que ce soit pour les travaux de PISA ou, encore, ceux du Conseil national de l’évaluation du système scolaire (CNESCO), ils ne « montrent » rien d’autre que ce que ces institutions veulent leur faire dire.
Dans ce contexte, PISA met en avant, cette année, les inégalités sociales et apporte son soutien explicite à la politique gouvernementale sur l’Education prioritaire. Ceci alors que le gouvernement impose une réforme de l’Education prioritaire en la limitant à la scolarité obligatoire, excluant donc les lycées et creusant les inégalités dans les écoles et collèges.
PISA note, d’ailleurs, que les écarts dans les lycées professionnels, en France, seraient le double de l’écart moyen dans l’OCDE. Plutôt que de préconiser plus de moyens pour l’Education prioritaire, comme l’exigent les personnels qui se sont mobilisés ces dernières semaines et se mobiliseront en janvier 2017, l’OCDE préconise une diminution des enseignements généraux dans les lycées professionnels. Voilà une drôle de conception de l’émancipation et de l’éducation pour tous !
Autre soutien explicite à la politique gouvernementale : l’OCDE préconise un renforcement de la politique du socle commun, ce formidable outil du… tri social.
Pour la CGT, PISA reste donc ce qu’il a toujours été : un outil de l’OCDE pour défendre et imposer une vision de l’école qui sert des politiques gouvernementales austéritaires et impose une culture de la concurrence et du tri social dès le plus jeune âge.
Montreuil le, 6 décembre 2016
La CGT reste sceptique sur ces évaluations du système qui, bien souvent, servent à justifier des contre-réformes.
Sur le fond, d’ailleurs, il est contestable de s’appuyer sur des sondages sur les compétences basiques en lecture, mathématiques et sciences de certains élèves pour, ensuite, faire des préconisations se présentant comme « scientifiques » donc incontestables.
Que ce soit pour les travaux de PISA ou, encore, ceux du Conseil national de l’évaluation du système scolaire (CNESCO), ils ne « montrent » rien d’autre que ce que ces institutions veulent leur faire dire.
Dans ce contexte, PISA met en avant, cette année, les inégalités sociales et apporte son soutien explicite à la politique gouvernementale sur l’Education prioritaire. Ceci alors que le gouvernement impose une réforme de l’Education prioritaire en la limitant à la scolarité obligatoire, excluant donc les lycées et creusant les inégalités dans les écoles et collèges.
PISA note, d’ailleurs, que les écarts dans les lycées professionnels, en France, seraient le double de l’écart moyen dans l’OCDE. Plutôt que de préconiser plus de moyens pour l’Education prioritaire, comme l’exigent les personnels qui se sont mobilisés ces dernières semaines et se mobiliseront en janvier 2017, l’OCDE préconise une diminution des enseignements généraux dans les lycées professionnels. Voilà une drôle de conception de l’émancipation et de l’éducation pour tous !
Autre soutien explicite à la politique gouvernementale : l’OCDE préconise un renforcement de la politique du socle commun, ce formidable outil du… tri social.
Pour la CGT, PISA reste donc ce qu’il a toujours été : un outil de l’OCDE pour défendre et imposer une vision de l’école qui sert des politiques gouvernementales austéritaires et impose une culture de la concurrence et du tri social dès le plus jeune âge.
Montreuil le, 6 décembre 2016
mercredi 7 décembre 2016
L’IVG : Un droit fondamental à conforter en France et dans le monde
La CGT rappelle son attachement au droit à l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG).
La CGT soutient le projet de loi examiné aujourd’hui à l’assemblée nationale pour pénaliser et fermer les sites de propagande mensongère des antis choix.
Le droit à l’avortement est une liberté fondamentale inscrite dans des conventions internationales auxquelles la quasi-totalité des Etats a souscrit. Il s’agit d’un droit indispensable à la santé des femmes, à leur émancipation, à leur scolarisation, à leur accès au travail et donc à leur autonomie financière.
En dépit de ces engagements et des multiples recommandations de l’ONU, de nombreux pays continuent à interdire ou à restreindre l’accès à l’avortement. En France comme dans le reste du monde, des groupuscules réactionnaires et des fondamentalistes religieux remettent en cause les droits des femmes en multipliant la désinformation et le lobbying.
La CGT demande également :
• la suppression de la clause de conscience spécifique à l’IVG. Rappelons qu’en Italie où plus de 80% des médecins refusent de pratiquer l’avortement, la clause de conscience n’est pas un enjeu symbolique mais un véritable problème de santé publique !
• l’augmentation des moyens et des personnels, le renforcement et la réouverture des centres IVG menacés par les lois hospitalières régressives comme la loi santé. Toute politique progressiste qui n’est pas accompagnée par des moyens adéquats est une politique illusoire ;
• l’allongement des délais d’IVG (12 semaines en France contre 22 semaines dans les pays d’Europe les plus progressistes) ;
• une meilleure formation de l’ensemble des personnels soignants.
Le droit à l’avortement est un droit fondamental qui doit figurer dans la Charte européenne des droits fondamentaux.
Montreuil, le 1er décembre 2016.
La CGT soutient le projet de loi examiné aujourd’hui à l’assemblée nationale pour pénaliser et fermer les sites de propagande mensongère des antis choix.
Le droit à l’avortement est une liberté fondamentale inscrite dans des conventions internationales auxquelles la quasi-totalité des Etats a souscrit. Il s’agit d’un droit indispensable à la santé des femmes, à leur émancipation, à leur scolarisation, à leur accès au travail et donc à leur autonomie financière.
En dépit de ces engagements et des multiples recommandations de l’ONU, de nombreux pays continuent à interdire ou à restreindre l’accès à l’avortement. En France comme dans le reste du monde, des groupuscules réactionnaires et des fondamentalistes religieux remettent en cause les droits des femmes en multipliant la désinformation et le lobbying.
La CGT demande également :
• la suppression de la clause de conscience spécifique à l’IVG. Rappelons qu’en Italie où plus de 80% des médecins refusent de pratiquer l’avortement, la clause de conscience n’est pas un enjeu symbolique mais un véritable problème de santé publique !
• l’augmentation des moyens et des personnels, le renforcement et la réouverture des centres IVG menacés par les lois hospitalières régressives comme la loi santé. Toute politique progressiste qui n’est pas accompagnée par des moyens adéquats est une politique illusoire ;
• l’allongement des délais d’IVG (12 semaines en France contre 22 semaines dans les pays d’Europe les plus progressistes) ;
• une meilleure formation de l’ensemble des personnels soignants.
Le droit à l’avortement est un droit fondamental qui doit figurer dans la Charte européenne des droits fondamentaux.
Montreuil, le 1er décembre 2016.
Affaire Air France : La CGT dénonce sans réserve la décision inique du Tribunal de Bobigny
Communiqué commun de la Confédération CGT, de la Fédération CGT Transports et du Syndicat CGT Air France
Le jugement concernant les salariés d’Air France vient de tomber. 3 camarades viennent d’être condamnés à des peines allant de 3 à 4 mois de prison avec sursis et des amendes concernant les accusations de violence.
Un camarade a été partiellement relaxé, l’autre totalement. Des amendes ont également été infligées à 11 autres camarades concernant des accusations de dégradations.
Dans le même dossier et alors même que l’inspection du travail avait invalidé le licenciement de Vincent Martinez, représentant du personnel, c’est la Ministre du travail elle-même qui a entériné son licenciement démontrant le caractère politique du dossier.
Le seul objectif est de faire baisser la tête aux salariés, pour les empêcher de défendre leur travail, en résistant aux mauvais coups des directions d’entreprise.
Le message envoyé est clair : liberté d’action pour les actionnaires pour détruire l’emploi et nourrir la finance ! La violence est bien dans ce camp-là.
Nul doute que les salariés ne se laisseront pas intimider.
La CGT continuera de porter ses propositions pour préserver l’emploi et en créer de nouveaux. Nous revendiquons notamment des droits nouveaux pour les salariés, afin qu’ils puissent intervenir directement sur les stratégies des entreprises.
La CGT sera toujours au cœur de la lutte pour les droits et libertés de tous les salariés. Dans cet objectif, la CGT se réserve tous droits d’attaquer cette décision de justice inique et politique.
Montreuil, le 30 novembre 2016
Le jugement concernant les salariés d’Air France vient de tomber. 3 camarades viennent d’être condamnés à des peines allant de 3 à 4 mois de prison avec sursis et des amendes concernant les accusations de violence.
Un camarade a été partiellement relaxé, l’autre totalement. Des amendes ont également été infligées à 11 autres camarades concernant des accusations de dégradations.
Dans le même dossier et alors même que l’inspection du travail avait invalidé le licenciement de Vincent Martinez, représentant du personnel, c’est la Ministre du travail elle-même qui a entériné son licenciement démontrant le caractère politique du dossier.
Le seul objectif est de faire baisser la tête aux salariés, pour les empêcher de défendre leur travail, en résistant aux mauvais coups des directions d’entreprise.
Le message envoyé est clair : liberté d’action pour les actionnaires pour détruire l’emploi et nourrir la finance ! La violence est bien dans ce camp-là.
Nul doute que les salariés ne se laisseront pas intimider.
La CGT continuera de porter ses propositions pour préserver l’emploi et en créer de nouveaux. Nous revendiquons notamment des droits nouveaux pour les salariés, afin qu’ils puissent intervenir directement sur les stratégies des entreprises.
La CGT sera toujours au cœur de la lutte pour les droits et libertés de tous les salariés. Dans cet objectif, la CGT se réserve tous droits d’attaquer cette décision de justice inique et politique.
Montreuil, le 30 novembre 2016
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